Travaux du dimanche.

Contrairement à hier, je n’ai pas lézardé au soleil. Pourtant, c’était tentant, le mercure affichait pas loin de 27°. Le ciel était azur et les oiseaux gazouillaient, sans oublier les parfums exhalés par les floraisons, une ambiance printanière merveilleuse.

J’ai même accompli une tâche péniblissime : repiquer mes semis. Cela devenait urgent pour les tomates et les poivrons, semés mi-janvier et placés derrière la baie vitrée de la salle à vivre (cachés derrière les rideaux).

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Scènes de printemps.

Ce matin, je me suis levée tôt. Petit dèj, douche et hop, j’attrape mon appareil photo pour une virée au jardin. Je voulais tirer le portrait de mon vénérable cerisier en fleur sous la lumière dorée…avant la corvée des courses (rapide)!

Les fleurettes blanches ou roses des fruitiers s’épanouissent d’heure en heure, sous un ciel bleu magnifique., vraiment une belle journée printanière.

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Exit les thuyas!

Courant juin, nous nous décidons enfin à passer à l’action et nous débarrasser des deux 1ers thuyas abimés dans la longue haie qui nous sépare du jardin voisin côté gauche (qui mène à l’arrière de la maison où se trouvent le potager, le verger, les cabanons et la serre).

La réflexion fut longue et laborieuse car cette haie préserve notre intimité par rapport au voisinage.

Avant

Voilà à quoi ressemblaient les 2 thuyas en question avant abattage, ce n’était plus possible il fallait absolument agir!

Seulement voilà, en ouvrant une brèche dans la haie, nous réalisons qu’ils sont tous malades et que la partie verdoyante n’est en fait qu’un vernis très superficiel.

Alors puisque nous y sommes et que nous avons le matériel autant aller jusqu’au bout de la démarche…exit tous les thuyas, au passage mon ennemi le liseron est mis à nu, quelle plaie celui-là!

Puis pose dans la foulée de panneaux en bois.

Vue depuis la terrasse (photo n°1) / vue depuis le verger (photos n°2 et 3)

Pendant les travaux, c’est l’effervescence, notre esprit est déjà ailleurs, plus précisément en face, du côté droit, vue directe sur l’autre tronçon de thuyas (massif dit ingrat et abandonné)…enlever, garder, les voisins, blabla…sempiternels questionnements!

En vérité, ce massif constitue ma bête noire car envahi de racines. La terre y est très pauvre, dure comme de la pierre en toute saison, même le liseron a déserté! Alors trêve de tergiversations, donc on couic!

Finalement quel boulot (35 thuyas arrachés) mais quel soulagement aussi! Les racines qui formaient un maillage serré, inextricable, dans les massifs ont été soigneusement enlevées.

L’espace dégagé est de 1m40 sur 12m du coté droit et de 1m60 sur 20m du côté gauche…et là je suis grisée par tout cet espace…qu’est ce que je vais faire de tout ça??

D’abord, déplacer vers le fond des massifs les végétaux trop près du bord (rosier Lady of Shalott, céanothe…). Puis imaginer de nouvelles associations, plantations et pourquoi pas de nouvelles structures en fer à béton.

J’ai commencé à constituer une liste de rosiers à commander (grimpants, anciens…) et à des arbustes qui supportent le soleil, les étés chauds et le gel aussi! Honnêtement, pour le moment, je n’ai pas encore une vision très claire de ce que je veux.

Je ne vais pas vous ennuyer plus longtemps avec mes doutes jardinesques, à bientôt!