Me voilà de retour sur le blog, contente de vous retrouver, après de bonnes vacances dans le sud de la France:)), cette coupure était absolument nécessaire.
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L’année dernière, j’avais acheté ce petit arbuste sans étiquette, en grande surface, croyant avoir mis la main sur une variété de choisya.
En regardant de plus près, à la maison, j’ai réalisé mon erreur…la honte!!
Me voilà bien perplexe, quoi en faire? Ne connaissant pas ses besoins ni sa taille à maturité, je l’ai abandonné dans un coin du jardin, sans soin bien sûr.
Comme il a résisté à la canicule de l’été dernier, à l’hiver et qu’il fleurit, je veux lui donner sa chance et le mettre enfin en pleine terre.
Est-ce qu’une âme charitable pourrait m’aider à l’identifier. Merci d’avance.
Dans mon jardin, il y a des narcisses (comme chez tout le monde d’ailleurs) alias les rois de la fin de l’hiver. J’apprécie leur fidélité. Quelques spécimens sont délicieusement parfumés et comme chaque année depuis trois ans, je regrette de ne pas en avoir mis plus…et puis j’oublie.
Des variétés sont en phase de défloraison, je m’empresse d’enlever les fleurs fanées au fur et à mesure car je leur trouve un aspect sale et négligé après la gloire.
Je vous laisse faire connaissance avec ma collection 2020 🙂
Les euphorbes, au nombre de 10 chez moi, sont très lumineuses dans les massifs. D’ailleurs, je les apprécie de plus en plus, je ne me lasse pas de les admirer. Et si la plupart d’entre elles sont encore jeunes, certaines commencent à prendre de l’envergure et assurent une belle présence dans mon clos. Elle ont également le bon gout d’être persistantes en hiver, ce qui constitue un atout supplémentaire.
Les tulipes prennent le relais des narcisses et démarrent leur show printanier.
D’autres floraisons ponctuent les massifs…
Un muscari qui ne ressemble pas aux autres et qui me laisse perplexe, difficile de savoir s’il me plait ou non!
Et puis les ravissantes primevères, j’en ai mis un peu partout, de toutes les nuances, quand on aime on ne compte pas!
Une scène que j’aime bien :
J’aime les nuances passées des hellébores qui, décidément, ne veulent pas jeter l’éponge!
Je termine ce post avec la 1ère rose de l’année, Old Blush et toujours le même constat : la rose est belle, délicate mais portée par un arbuste en piteux état.
Hier, je suis allée à une fête de plantes organisée par un établissement médico-social qui accueille des adultes en situation de handicap. La manifestation était à quelques encablures de chez moi et l’affiche, d’une grande simplicité, était alléchante. Je voulais être parmi les 1ers arrivants pour avoir un peu de choix.
La météo était belle et le trajet agréable, j’adore le printemps dans le Loir-et-Cher ! Je me suis arrêtée en cours de route pour prendre en photo cette mer de lin bleu.
Dans le dernier billet, j’ai montré les plants de légumes et de fleurs issus de semis au retour de ma courte escapade parisienne.
Aujourd’hui, je vous invite à une flânerie dans mon clos. Il s’est épanoui en mon absence, les arbres et les arbustes caduques ont retrouvé leur manteau de verdure.
D’abord, les noisetiers sont redevenus verts ou pourpres. Ils forment un bel écran végétal vis-à-vis du voisinage. Ce coin est plus humide, je l’appelle le « sous-bois ».
Aujourd’hui, je vous invite à une petite balade au clos. Le printemps est à présent bien installé, la météo est de la partie et le chant des oiseaux remplit l’espace. Les floraisons se succèdent, cela va très vite et mon appareil photo n’arrive plus à suivre!
Des tulipes s’épanouissent deci delà, parfois à des endroits où je n’ai pas mis de bulbes 😆
En mai 2019 (ça date!), je vous racontais, dans cet article, les aventures ou plutôt les déboires d’un petit arbuste que j’ai au jardin : l’Eriostémon myoporoides.
A l’achat, pour moi il s’agissait d’une variété de choisya même si j’avais un petit doute à cause des rameaux verruqueux et des feuilles épaisses.